DANGER, DANGER WHEN WE TOUCH, WHEN WE KISS.

LIBRE, RESERVE, PRIS

Don't you want to know how we keep starting fires?
It's my desire, It's my desire, It's my desire
Danger! Danger! High Voltage! When we touch, When we kiss
Danger! Danger! High Voltage! When we touch, when we kiss
When we touch

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Nom et Prénom(s)

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Particularités

Séduteur, aime beaucoup les femmes, n'a jamais eu d'attache sentimental, aime la chevrolet Impala 1967, est végétarien.

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Autres

Un bon niveau ainsi qu'une bonne présence requise.

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Lien

Citation :: [i]Extrait du journal de X.

« J’ai rencontrée une fille. Sûrement la plus belle que j’ai jamais vus. Ces cheveux d’un noir corbeau ondulés le long de son dos. Sa peau, je la devinais sans imperfection, un toucher soyeux, une senteur de pêche. Ses yeux aussi bleus que l’océan, ne pouvaient que obtenir de l’attention. Tantôt doux, tantôt aguicheur, même un moine pourrait succomber à son regard perçant. Je pourrais même dire qu’elle a les yeux revolvers. Dès que son regard a croisé le mien, je me suis senti défaillir, impuissant. Et le pire, c’est qu’elle est une Hippie. Une hippie. Oui, j’ai été éduqué de manière à respecter les règles, à ne pas dépasser mes propres limites. Mes parents ne sont ni hippies, ni anti-hippies. Juste entre les deux. Alors elle ma demandée, avec sa bouche pulpeuse, que je ne pouvais presque plus y détourné mes yeux, un album des Beatles. J’adorais les Beatles. Lorsque je pouvais en acheter un, derrière le dos de mes parents j’y aller. Elle m’a sourie et j’ai senti mon pouls s’accéléraient. Je me demandais comment alors j’ai fait pour ne pas bégayer. D’habitude, je ne bégaye pas devant les filles, c’est moi qui les séduis et puis s’ensuit. Mais elle, elle me fait tourner la tête. C’est une autre perception que j’avais de la femme. Elle était outrageuse avec son petit short, avec lequel on pouvait voir une partie de ses formes. Tandis que les garçons la regardaient avec avidité, les filles, quand à elles, lui donnait des regards méprisants signifiant qu’elle n’avait strictement rien à faire ici. Pourtant, un magasin de CDS est pour tout public à ce que je sache ! Cette jeune femme m’étonnait, elle arrivait à ignorer ses regards persistants, bon nombre de filles auraient décampés trop occupées du regard des autres. Elle m’intrigue et lorsqu’elle était partie, je me disais que j’allais la revoir. »

Le jour suivant.
Quinn et ses amies étaient entrain de distribuer des tracts sur le festival de Woodstock. La jeune brune se glissa à l’intérieur de la boutique où travaillait X et elle se posta devant lui, lui tendant le papier avec son regard fondant, électrique.
« Tiens, c’est pour toi. Si tu veux savoir vraiment ce qu’est la musique viens t’amuser avec moi. »
« Mais, c’est interdit tout ça. » en désignant les bons nombres de tracts collés sur les vitres du magasin.
« Peut-être, mais les interdits sont souvent là pour pimenter notre vie non ? »
A ce moment-là, on entendait des sirènes de voiture de police. Quinn le regarda une dernière fois avant de se retourner et de partir avant de se faire prendre. Le jeune homme allait-il venir ? Quinn en était persuadé rien qu’a sa réaction sur son visage. Il lui avait semblée, avoir vu un éclair brillant dans les yeux du jeune homme.

Puis se fut le jour du festival. X, ne pouvait y assister qu’en fin de journée. Son boulot lui prenait la majeure partie de son temps. Il avait dit alors à ses parents qu’il irait chez un pote a lui pour réviser la bio. Il se rendit alors au festival. Il fut émerveillé par tant de musique, de couleur, tant d’animations. Il se frayait un chemin dans la foule en délire, la musique battait son plein, il la cherchait. Il reconnu son corps élancé, ses cheveux d’un noir corbeau. Il se rapprocha d’elle, il sentait alors le doux parfum de ses cheveux. Quinn se retour à peine et lui murmura quelques mots. Elle s’en alla alors, suivie par X, qui tentait de ne pas la perdre de vue. Ils arrivèrent à un petit terrain vague. Il y avait un arbre tout près. Quinn y était cachée, elle entraîna alors X, se retrouvant à quelques millimètres de son visage. Quelques minutes passèrent, ils se dévisagèrent et la jeune femme sortit de cette attraction avant de déraper. Il était attiré par ce monde singulier et par elle.